I N T R O D U C T I O N “ Nom : Cooper “ Prénoms : Haley J. “ Surnoms : Hales “ Âge : 16 ans “ Date de Naissance : 6 novembre “ Lieu de Naissance : Paris, France “ Nationalité : Franco-Anglaise “ Lieu de Résidence : Londres “ Origines : Père moldu français, mère sorcière anglaise “ Orientation Sexuelle : Hétérosexuel “ Groupes Scolaires : Serdaigle

Surnom : Ju'

Age : 16 ans

Parlez-nous de vous : Actuellement, je suis en filière général et je prépare un bac scientifique pour l'année prochaine. Je suis passionnée de lecture et d'écriture. Ah et, j'allais oublier, je suis une des deux créatrices du forum.

Avancée de votre fiche : TERMINEECode du règlement : OK by Staff

Peu de personnes ont un jour rencontrés une famille aussi étrange que celle des Cooper, qui logeaient Boulevard Haussmann, à Paris. Le problème, ce n'était pas le mari - grand, brun, au physique plutôt avantageux, il occupait une place importante dans un société d'assurance française - mais plutôt sa femme. Pour sa défense, il faut dire que Mme Cooper avait été élevée dans une famille de sorciers, et n'avait donc jamais eu connaissance de la culture moldue, ni du style vestimentaire à adopter. Aussi mélangeait t'elle les couleurs et les textures dans un style ... disons assez particulier, qui faisait sourire son époux et bien rire les voisins. Mais qu'importe, car le jeune couple ne prêtait aucune attention aux messes basses du voisinage. Non, les jeunes gens étaient tout occupés à regarder le ventre bien rond de Mme Cooper, et à chercher le prénom que porterait leur futur petit ange. Après de longues batailles pour savoir si le prénom serait d'origine français, ou anglaise, ou même Américaine, ce fut le prénom de la jeune femme qui fut retenue - plus tard, M. Cooper ne cesserait de se demander s'il n'y avait pas eu un brin de sorcellerie pour qu'il laisse tombé son idée et adopte celle de sa femme. Mais au final, tous deux étaient quand même ravie de leur choix : Haley Jane Cooper. Mi sorcière, mi moldue, elle serait le reflet parfait de leur amour : parfaite.

Par une douce matinée de Septembre, alors que M. et Mme Cooper prenaient leur petit déjeuné, Haley J. Cooper décida qu'il en était assez. Elle s'ennuyait, manquer d'espace pour étirer ses tous petits membres et était bien curieuse d'enfin découvrir le monde. Aussi commença t'elle à se contorsionner dans le ventre de sa mère, doucement d'abord, puis avec de plus en plus de force et d'entrée.
Mme Cooper, qui semblait ravie que sa fille se décide à voir le jour, prépara tranquillement son sac pour la maternité. Certes, elle aurait pu aller à St Mangouste et avoir un accouchement des plus normal, en un tour de baguette le tour serait joué. Mais, elle était charmé par les hôpitaux moldus, par la façon dont ils mettaient au monde les enfants. Et puis il y avait son mari, son adorable mari, qui aurait été bien déçu s'il n'avait pas pu assister à la naissance de son plus beau miracle.

***

Nous étions le 6 novembre, et aujourd'hui, c'était les six ans de Haley. Le salon des Cooper était rempli de ballons, et il y avait tellement de friandises que l'on se demander comment de si petits enfants allaient pouvoir tout manger. La petite fille, habillée en petite princesse, s'amusait à cache cache avec ses amis, sous le regard attendri de son père qui discutaient avec d'autres parents.
Tous parlaient de l'avenir de leurs enfants, des écoles où ils espéraient les mettre. Le visage de M. Cook s’assombrit légèrement, et il regarda longuement sa femme. Le sujet de discussion était encore houleux entre les deux parents, qui n'étaient pas d'accord sur l'avenir de leur fille. Poudlard. Pour Mme Cooper, qui avait fait ses études là bas, c'était une évidence que sa jolie petite fille étudie à la plus célèbre école de sorcellerie. Pour M. Cooper, en revanche, le fait que la sorcellerie constitue les seules études de sa fille le rendait plutôt septique. Évidemment, il avait déjà vu toutes les prouesses que sa femme pouvait réaliser, mais il n'était pas convaincu du bien fondé de la chose. Alors, avaient-ils convenu, ce serait à Haley de décider.

Soucieuse, de l'autre côté de la pièce, Haley regardait ses parents s'affrontaient du regard. Du haut de ses six ans, elle comprenait déjà beaucoup de choses. Que sa maman était capable de magie. Que son père, lui, n'aimait pas du tout ça, même s'il aimait beaucoup sa mère. Et elle savait que, bientôt, elle aussi serait capable de ça. C'était sûrement ce qui déplaisait à son père, qu'Haley puisse elle aussi être un être extraordinaire.

KATE. " Haley, tu crois que les fées existent ? "

Haley regarda son amie moldue, les yeux pétillants. Elle aurait voulu lui dire que les sirènes, la magie, la sorcellerie, les centaures ... Tout existait. Elle aurait voulu lui parler de Poudlard, des contes que sa maman lui racontait le soir. Elle aurait aimé pouvoir lui dire qu'un jour, elle pourrait faire danser les peluches, léviter des objets, voler sur un balais. Mais c'était défendu, avait dit maman. "Tes amies ne sont pas comme nous, elles ne peuvent pas faire tout ça. Tu ne dois jamais rien leur dire ", disait-elle toujours.


HALEY. "Tu es bête. Si la magie existait, on le saurait !"

Déçue, Kate détourna le dos et laissa Haley seule au milieu de la pièce. Mme Cooper, qui s'était approchée pour écouter leur conversation, se dit soudain que sa petite fille devait parfois souffrir de sa différence avec les autres enfants de son école. Il faudrait peut être déménager dans un village de sorciers, près de Londres. Son époux risquait de ne pas être d'accord, mais il fallait vraiment qu'Haley se sente plus proche de ses amies que maintenant.

FLASH BACK

Les barques fendaient la surface de l’eau, sous les « oh ! » émerveillés des jeunes passagers. Les deux mains accrochées à la proue, Haley avait les yeux écarquillés et la bouche légèrement entrouverte. C’était plus beau que dans ses rêves, bien plus beau que dans les récits de maman. C’était … magique, oui, c’était le mot. Ce château majestueux, avec ses quatre tours élancées vers le ciel, brillait de mille feux et se reflétait dans les eaux calmes du lac. La petite fille se tourna vers Charlie, la jeune fille dont elle venait de faire connaissance, mais ne dit pas un mot. Elle sentie que, tout comme elle, la blondinette était tellement éblouie du spectacle qu’elle ne trouvait aucun mot pour décrire la beauté des lieux.
Haley sentie immédiatement qu’elle avait fait le bon choix en choisissant d’aller étudier la sorcellerie. Mais son père ne serait pas déçu, à ça non, car elle allait travailler très dur pour lui prouver qu’elle ne s’était pas trompée. Et lui qui pensait que sa mère racontait des histoires quant à la somptueuse vue !

Les barques accostèrent doucement sur la berge, force de l’habitude, et un professeur à l’air sévère les conduisit à l’intérieur. Mais peu importe l’air coincé de l’enseignant, les longues heures de cours du lendemain, les élèves étaient encore portés par la magie du lieu. Mais le plus beau n’est pas encore arrivé, et cela, Haley s’en doutait. Fouillant son esprit, elle se rappela toutes les histoires que sa mère lui racontait, et dans toutes, la pièce la plus belle du château était la grande salle. La petite fille ne fut pas déçue. Quatre longues tables trônaient en plein milieu de la salle, et des milliers de petites chandelles flottaient dans les airs, diffusant une lumière douce. Les élèves des années supérieures – dans leurs robes de sorciers à l’effigie de leurs maisons - regardaient les nouveaux arrivants avec curiosité.

Haley commença à trembler. Elle allait devoir passer sous le fameux choixpeau magique afin de connaître sa future maison. Beaucoup ne voulaient pas atterrir à Serpentard, mais la petite fille s’en moquait bien. Après tout, ce n’est pas la robe qui fait le sorcier. Non, tentait-elle de se rassurer, il n’y avait aucune raison d’avoir peur de la répartition. Peu importe la maison dans laquelle elle serait, Haley savait d’avance qu’elle ferait le maximum pour faire remporter la coupe des quatre maisons. Néanmoins, elle aurait aimée atterrir à Gryffondor, comme sa maman.
Son nom fut soudain appelé. La petite fille monta sur l’estrade, s’assit sur l’ancien tabouret, et ferma les yeux. On déposa le choixpeau magique sur sa tête.

CHOIXPEAU. " Hmm … voyons voir … SERDAIGLE !"

Des applaudissements retentirent de la table des Serdaigles. Radieuse, Haley alla s’installer au bout de la table. Peu de temps après, Charlie vint la rejoindre. Elles posèrent les bases d’une amitié profonde, qui, petit à petit, se renforcait.

FIN DU FLASHBACK

Assise près du lac, Haley fredonnait un air de musique en se remémorant des souvenirs plaisants. La jeune femme était devenue une exellente élève, comme elle l'avait tant souhaitait. Si elle était travailleuse et assidue, elle n'en était pas moins une jeune femme libre, qui aimait s'amuser et aussi faire la fête.
Haley se releva. Des garçons, de l'autre côté du lac, la regardaient avec envie. Il était vrai que de ses un mètre soixante quinze, avec sa peau ambrée, ses yeux noisettes et sa longue chevelure châtains, elle ne passait pas innaperçue. Mais la jeune femme ne voulait pas s'engager dans une relation amoureuse, elle ne cherchait pas. Elle savait qu'un jour, elle trouverait la personne qu'il lui faudrait. Un jour. Elle n'était pas préssée. Elle avait la vie devant elle.

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