June L. Harringston
Gryffondor
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 |  Sujet: Et, une citrouille ! - PV Sacha -  Jeu 28 Juin - 10:37 | |
| L’amie. « Tu ne manges pas de soupe, Blondie ? » Dit-elle surprise. Forcée de constater que tout le monde se régalait du potage à par June.
June. « Hum … non. Je n’aime pas vraiment ça. »
Les citrouilles étaient oranges. En fait, elle avait toujours vu les citrouilles comme de très grandes oranges. Le jour où elle avait expliqué sa théorie à Abigaël, celle-ci avait juste éclatée de rire en lui recommandant de ne plus jamais la redire à quelqu’un. A l’époque, elle n’avait rien dit mais cette histoire l'avait profondément marquée : c’était l’une des premières où elle avait compris que son esprit n’était pas pareil que les autres. Et le souvenir à soudainement refait surface quand elle a revu les citrouilles à Poudlard. Elle en eu le hoquet, pour vous dire ! Et le repas d’aujourd’hui, bien sur, c’était une bonne soupe à la citrouille. Le plus bizarre dans toute cette histoire farfelue, c’est qu'elle adorait se rendre à la cabane de Hagrid, s'asseoir entre les énormes citrouilles orange, sur une petite buche de bois, et lire un bon livre. Ses cours se terminaient à quinze heures : elle avait une heure de potions et une heure de métamorphose, les deux heures de défense contre les forces du mal avaient été annulées. Tout ça avec les Poufsouffle. Une après midi qui s’annonçait tranquille.
Elle partis plus tôt que ses amis pour poser son livre de défense contre les forces du mal et mettre à la place un bouquin acheté dans une librairie moldue : Roméo & Juliette de Shakespeare. La jeune rouge et or adorait tous ces grands « classiques ». Elle en avait découvert les charmes avec un énorme étonnement ! Les moldus étaient vraiment doués pour les histoires d’amours loufoques, les vies tristes et ratés. Ils racontaient la monotonie, la détresse et la décadence des vies avec tellement de sentiments. Jamais un livre ne l'avait autant transpercé qu’un livre moldu. Il lui pressait tellement de se retrouver aux pieds de la cabane de Hagrid, que les deux heures de cours allaient être une éternité. Elle pris son appareil photo au cas où un évènement magique à immortaliser se produirait.
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Enfin ! Elle pris la direction du parc, elle n’aurai qu’à descendre, emprunter le petit sentier et serait à la cabane. Les élèves la regardaient passer. Bien sur, la plupart retournaient en cours, d’autres après cette longue journée, remontaient dans la salle commune. Lùbelle préférait s’isoler dans les citrouilles. Abigaël lui disait que si elle agirait de manière plus normale, les gens ne se rendraient même pas compte que parfois, très souvent, elle était ailleurs. La jeune gryffondor soupira. Elle accéléra un peu son allure, il lui pressait d’arriver. Puis l’endroit était encore plus éclairé la bas. Et elle aimait sentir les rayons du soleil effleurer sa peau. La chaleur avait un effet serre, les rayons se déposaient sur son bras et réchauffait l’intérieur de son corps, son sourire revenait.
Elle arriva enfin à la cabane. Les citrouilles étaient positionnées n’importe comment. L’une au dessus de l’autre, à côté les unes des autres, entassées. Elle vis comme un trou vers la droite, où la lumière du soleil passait parfaitement. Il y avait même un coin d’ombre à cause de deux citrouilles emboitée l’une sur l’autre. Elle posa son sac, puis porta un petite buche légère jusqu’ l’endroit et s’assis dessus, le dos contre la citrouille. Elle ouvris son livre, et commença sa lecture, le soleil sur le visage, confortablement installée. |
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Sacha H. Wells
Serpentard
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| | Sujet: Re: Et, une citrouille ! - PV Sacha - Lun 2 Juil - 21:56 | |
| C’était le midi et inlassablement la soupe à la citrouille était de sortie, imbuvable, immangeable, pour la verte et argent qui depuis qu’elle était à Poudlard ne supportait plus d’en manger, ni d’en voir d’ailleurs c’est en parti pour cette raison que la verte et argent ne s’éternisa pas à table, et puis la vue de cette Harringston lui avait comment dire couper l’appétit… Même si il était net qu’un différend existé entre elles personnes ne savaient à quel point elles se haïssaient cachant leur jeu aux yeux de tous, ce qui amusé Sacha au plus haut point. Une fois sortie de la grande salle la Serpentard soupira devant ce calme presque trop imposant par rapport à la pièce d’où elle venait de sortir.
Après une brève hésitation quant à sa destination la jeune femme se dirigea finalement d’un pas résolue vers les cachots. Elle avait laissé son livre de potion dans le dortoir et elle avait un important devoir à rendre pour demain. Cependant hors de question de le faire dans la salle commune ou à la bibliothèque par se temps. C’est donc son livre sous le bras que la verte et argent se dirigea d’un pas sur vers le parc terrorisant deux ou trois première année au passage, qui comme beaucoup la craignait.
Laissant ses pas la guider c’est sans se préoccuper des autres que Sacha atterrie du côté de la cabane d’Hagrid, ce géant qui avait soi-disant était courageux lors de la guerre opposant ce fameux Potter au Lord noir, il a plusieurs siècles de cela maintenant. Sauf que les pas de la brune l’avait menée sur les pas de cette June Harrigston, ce qui déplus fortement à Sacha qui eut l’impression de voir sa fin d’après-midi gâchée en l’espace de 2 secondes. Une chose était sur l’ambiance allait être électrique et la verte et argent n’allait pas pouvoir réaliser son devoir de potion comme elle l’aurait souhaité…
- Harrigston, qu’est-ce que tu fou là ? Je ne savais pas que les sang de bourbe savait lire…
Manque de courtoisie, de sympathie, de politesse, c’était le lot quotidien quand les deux jeunes femmes se retrouvaient seules dans un coin plutôt isolés du château. Après devant les autres il n’y avait que deux trois petites piques mais rien ne laissant penser qu’il pouvait y avoir plus et surtout pire. Et à ce moment précis la Serpentard savait pertinemment que le pire était à craindre entre elles deux et malheur à l’élève qui aurait le malheur de passer par là à ce moment-là… Lentement la jeune femme posa son livre de potion, mais à aucun moment ne fit un de geste brusque, juste un brin de provocation dans le regard bleu de celle que nombre d’élèves fuyaient comme la peste. Nombreux sauf elle cette fichue Gryffondor qui croyait que le courage était encore une valeur sûre pour ceux de sa maison, alors qu’au contraire ce n’était qu’une stupidité de plus à ajouter à ces rouge et or. Ce qui d’ailleurs faisait volontiers rire la brune. |
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