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 June L. Harringston

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June L. Harringston
Gryffondor
June L. Harringston

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MessageSujet: June L. Harringston   June L. Harringston Icon_minitimeMer 6 Juil - 0:57


    June L. Harringston
    «Pour réaliser une chose vraiment extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez d'un trait jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager.»



    I N T R O D U C T I O N

    Nom : Harringston
    Prénoms : June Lilium
    Surnoms : Blondie
    Âge : 16 ans
    Date de Naissance : 29 Décembre
    Lieu de Naissance : Londres
    Nationalité : Anglaise
    Lieu de Résidence : Londres
    Origines : Anglaise
    Orientation Sexuelle : Hétérosexuel
    Groupes Scolaires : Gryffondor



    IRL
    « Celui qui vit dans l'imaginaire partage plusieurs vies ; Une seule lui échappe : la sienne ».



    Surnom : Lily.

    Age : 16 ans.

    Parlez-nous de vous :

    Avancée de votre fiche : En cours, l'histoire est commencée.

    Code du règlement : OK by Staff




Dernière édition par June L. Harringston le Mer 6 Juil - 1:32, édité 2 fois
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June L. Harringston
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MessageSujet: Re: June L. Harringston   June L. Harringston Icon_minitimeMer 6 Juil - 0:58

    HISTOIRE
    Ce que j'en dit.




    « Le souvenir est l’espérance renversée. On regarde au fond du puits comme on a regardé le
    sommet de la tour. »


    ; Subconscient, Tiroir n°1.
    Les naissances.


    Trou Noir. Deux mots, si parfait pour résumer le souvenir de ma naissance. Souvent la parole n’exprime que la surface des choses, et parfois, il arrive que quelques lettres calées les unes contre les autres puissent signifier pour nous l’exacte similitude de nos pensées. J’ai essayé, encore, et encore, de me souvenir du premier rayon de soleil qui a caressé ma peau, de la brulure qu’à pu provoquer ma première bouffée d’oxygène. Ai-je pleuré ? Je me demande si j’ai su à l’avance. Les gens disent qu’un bébé cri très fort à son entrée dans le monde. Je pense plutôt que la naissance est le seul moment où on possède notre sixième sens et qu’il est différent pour chacun. Ensuite, avec les règles des adultes, ce que l’on doit comprendre, on entre dans un moule parfait où les places sont distribuées. Puis à notre tour, on apprend ce sens de la vie à nos enfants ; un cercle sans fin. Moi je ne veux pas comprendre. J’apprends à mon rythme, au rythme de ma vie. Mon sixième sens aussi a disparu. Grandir, c’est savoir s’en passer. Certains sont des chanceux, moi par exemple, j’ai ma famille. C’est imparfait, des erreurs sont évidentes, mais ça me suffit pour regarder toujours plus haut.



    ¤ ¤ ¤ ¤



    « Regarde le ciel qui s’étend dans toute sa splendeur, empli d’une magnificence royale. Tu as vu ce gratte-ciel qui chatouille les nuages ? Oh et l’oiseau qui bat ses frêles ailes et s’élance sans un bruit. Tu crois que le monde est meilleur vu de haut ? Un jour, j’apprendrai à parler au vent pour qu’il me souffle dans le creux de l’oreille qu’il veut bien que je navigue dans les cieux. Je lui troquerai mon âme pour survoler l’océan, et lui abandonnerai mon cœur pour goûter de plus près à la chaleur du soleil. Un orage, éclatant de force, viendra troubler mon envol, et je tomberai de milles pieds avant qu’un courant d’air chaud me recueille en son sein. Je serai amoureux de la lune et lui chanterai des mots doux mais mon amour sera vain, un astre ne choisit pas comme amant une femme. Alors je redescendrai sur terre pour affronter mon enfer, à l’instar d’un ange à qui on a coupé les ailes. Je perdrai goût à la vie, et je rêverai sans arrêt à ma douce, qui posera sur moi ses yeux aux reflets argentés. Je m’élancerai alors dans un combat acharné. Ange déchu tu veux donc retrouver tes ailes ? J’étendrai mes bras et offrirai mon corps aux éléments, qu’ils se bataillent mon corps si ils le désirent, ce n’est pas important. Je m’élancerai alors, dans un cri de désespoir honteux, criant à la lune de me sortir de là. Et sans même pâlir ni bouger, elle me laissera m’écraser contre la pierre, dure et froide. Ange tu es devenu mortel. »

    Le vent s’engouffra dans mes cheveux soyeux, les faisant glisser doucement sur l’air frais qui m’enveloppait. L’herbe humide se soulevait tout autour de moi, m’entourant d’une brise légère coulant sur ma peau tel un brasier de lave réchauffant votre corps. Je sentais les petites particules de vent taper sur mon visage, comme un fouet de cotons laissant pour seule trace les douces caresses de cette eau s’abattant tour à tour au contour de ma bouche rosée par le froid, de mon nez rouge pivoine et de mes yeux couleurs de noix. Ces mêmes yeux transpercés par les quelques rayons de lumière orangés passant ça et là entre les nuages et j’apercevais cette clarté qui ne pouvait être que le souvenir d’un ange devenus mortel. A cet instant, le flot de pensée dégoulinant en moi, je me souvenais de ce visage dont les contours étaient tracés au crayon fin sur cette couverture de cuire. Et je revoyais mes lèvres bougées aux rythmes des mots, prenant la forme du vent, du soleil et de la lune. Devenant, chacun à leur tour, brise, chaleur et eau. Je percevais dans ce son, les éléments se déchaîner, voulant s’élancer là haut, où l’horizon devient beauté. Où les anges devenus mortel reposent en paix parce que l’histoire est finie et que les mots se sont arrêtés. J’admirais ce portrait durant des heures, minutes par minutes, secondes par secondes. Et le tic tac de l’horloge prenant la forme de la pluie s’abattant sur le sol tremblant sous la force du torrent. Ce devait sûrement …

    Lùbelle. « June ! Tu fais quoi encore ? Es-tu complètement cinglée, je te préviens, si t’attrape une pneumonie, je n’irai pas te soigner jusque dans la tombe ! Rentre, et reste à l’intérieur. J’ai rendez-vous, tu m’as promis d’être sage alors arrête les bêtises ! »

    Je soupirai. Lùlù était toujours la même, turbulente. Et elle ne se gênait pas pour parler, même si au fond ce n’était pas méchant. Mes parents laissaient ma cousine dormir à la maison quand bon lui semblait, en échange, elle devait me garder, à dix ans. Puis, « une pneumonie ? ». D’où sort-elle ça encore … Je me demandais si ça avait un rapport avec de la bave de troll moisis, j’avais lu quelque part qu’elle se répandait partout dans la terre, et si pas malheur un homme se trouvait à côté, il en succomberait. Mais c’était impossible, Lùlù ne connaissait même pas l’existence des sorcières …

    Lùbelle. « Juuuu-neeee ! »


Dernière édition par June L. Harringston le Mer 6 Juil - 1:33, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: June L. Harringston   June L. Harringston Icon_minitimeMer 6 Juil - 0:58

    ; Subconscient, Tiroir n°2.
    La Boîte à Sentiments.


    Flash Back.

    Magie, magie, quand tu nous tiens. La boutique de farce et attrape du chemin de traverse était un de mes endroits préférés. Je pouvais y sentir les bonnes odeurs de friandises, et le souffle chaud de l’enfance qui prépare une mauvaise blague, pleine de bonnes intentions. Je n’avais pas vraiment d’humour, où tout de moins il était bizarre. « Loufoque ou pas, on s’en fiche. Au moins elle en a un ! » me défendait toujours mes amies à Poudlard. Mes yeux écarquillés, passaient d’étagère en étagère, ma bouche légèrement ouverte, j’imaginai se que pourrait provoquer tel ou tel objet, comme ce canard ; paraît-il que quand on se faisait pincer le nez avec le bec, notre corps se couvrait de plume. Amusant, non ? Juste à côté, était déposé dans une vitrine protégée d’un sortilège, un puissant filtre d’amour. Je m’arrêtais une minute, absorbé par la contemplation de cette potion de conte de fée. J’ai toujours rêvée de cette amour interdit, puissant, qui se finit toujours bien, malgré les batailles : comme ce livre moldu, Roméo & Juliette. Un soupire me tira de mes pensées, le vieil homme qui tenait la boutique m’observait, une lueur de malice dans les yeux.

    Lui. « Ne serais-tu pas un peu jeune pour regarder cette fiole d’un regard si profond fillette ? » Depuis que je suis née, on me disait que mes yeux en amande, d’un gris très clair teinté de vert tout comme ma mère, était le miroir de mon âme : profond, mystérieux, rêveur, troublant même mais aussi festive, aimante.
    June. « Vous n’avez jamais eu treize ans Monsieur, où cela fait très longtemps. »
    Lui, esquissant un rire. « Trop longtemps même. Comment t’appelles-tu ? »
    June. « Je suis June. June … Harringston. » Un éclair passa dans les yeux de l’homme.
    Lui. « Et bien, je te le donnes. » Surprise, mes yeux se tournèrent vers lui. Quelle coïncidence, cela remonte à mon enfance, où je rêvais d’un amour de conte de fée. Et aujourd’hui on m’offrait un puissant filtre d’amour mais est-ce ce que l’on peut réellement appeler, amour. « Oh et, ne te fis pas aux coïncidences dans nos vie il n’y en a jamais. Fais-en bon usage, ou n’en uses jamais. » Il semblait avoir lu dans mes pensées, je le regardais, troublée. « Tu es une fille intelligente. » Il me laissa la, le filtre à la main.
    Abigaël. « Un jour, tes pensées te perdront ! » rit ma meilleure amie, en s’approchant de moi.
    Je rangeais le filtre et rejoignais mes amies.

    Flash Back, Fin.



    ¤ ¤ ¤ ¤



    La lune était magnifique du haut de la tour d’astronomie. Le parchemin glissait sous mes doigts, je le déroulais tout doucement, la chouette avait certainement déjà rejoint la volière. A l’intérieur, il y avait seulement beaucoup de photos. Je l’ai avais toutes prises moi-même. De puis toute petite, j’avais développé un goût et un talent inné pour la photo. Je pense que plus tard, mon métier s’y rapportera d’ailleurs. Je range les photos une à une dans mon album. Elles sont magnifiques. Dans un dernier soupire, je place l’album dans cette petite boîte que j’adore. Elle me calmait dans mes moments de folies. Indescriptible. Les mots ne sont pas assez forts, ils ne le seront jamais. Mon regard se posa deux secondes sur le filtre toujours plein, puis je refermai le couvercle.


Dernière édition par June L. Harringston le Mer 6 Juil - 1:28, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: June L. Harringston   June L. Harringston Icon_minitimeMer 6 Juil - 0:58




    « Toutes les fois que je déprime en voyant ce qui se passe dans le monde, je pense à la zone d'arrivée des passagers de l'aéroport de Londres ; de l'avis général nous vivons dans un monde de haine et de cupidité. Je ne suis pas d'accord. J'ai plutôt le sentiment que l'amour est présent partout ; il n'y a pas toujours de quoi en faire un roman mais il est bien là : père et fils, mère et filles, mari et femme, copains, copines, vieux amis...
    Quand les deux avions ont frappé les tours Jumelles, à ma connaissance aucun des appels téléphoniques de ces gens qui allaient mourir ne contenaient de message de haine ou de vengeance. C'étaient tous des messages d'amour. Si vous cherchez bien, j'ai la désagréable impression que vous constaterez qu'en définitive, nous sommes cernés par l'amour. »



    ; Subconscient, Tiroir n°3
    Une vie tout simplement.


    Quand je vis Poudlard pour la première fois, je fus tellement surprise que pendant des minutes entières je n’ouvris plus la bouche. C’est bête, mais dans les barques, j’avais tout le temps la peur qu’elle se renverse. Je m’étais déjà tissais quelques liens de nature sociable. J’avais repéré ceux que je n’apprécierais pas. Cette expérience était nouvelle, moi qui avais été à l’école moldu. Je me promettais de faire tout ce qui était en mon pouvoir pour devenir aussi douée qu’une véritable sorcière …
    Au début j’ai eu assez peur, puis comme d’habitude, j’ai fais front. J’aimais bien les gens qui étaient dans mes dortoirs. Les personnes étaient gentilles, certains m’ont expliqués beaucoup de choses que je ne savais pas encore sur Poudlard. Au fond, j’avais été envoyé à Gryffondor, quoi de mieux ? J’étais avec Abigaël devenues ma meilleure amie. Mais j’aimais être à Poudlard, oui, j’adorais ça.


    ¤ ¤ ¤


    … « C’était horrible. De dire toutes ces choses. »

    Une voix venait de murmurer à mon oreille. J’étais au fond d’un cachot. La où personne ne pourrait nous trouver. Je venais juste de gagner un match avec mon équipe et … de me disputer avec Logan. Pour de faux, devant tout le monde, pour sauver les apparences. C’était un peu plus dur à chaque fois. Je le regardais, lui et sa tignasse blonde. Pourquoi ? J’étais complètement folle de lui. Il était complètement épris de moi. Et pourtant, on savait que cette relation, elle nous détruirait. A petit feu. Et j’étais la, à l’embrasser, à lui passer ma main dans les cheveux. Il m’attrapa par la taille, me serrant plus fort.

    Logan. « June. June, tu es tout ce que j’aime. » Je tiquais. Un tourbillon se forma dans mon ventre, un tourbillon d’amour, de passion, et de peur. Peur de le perdre. Il le fallait, il fallait le dire.
    June. « Oui, oui, pour moi aussi. » Je marquai une pose. J’essayais de me dégager du baiser si alléchant de Logan. « Tu le sais Log’. Si c’est vrai, dis le, dis le à tout le monde. » J’allais exploser. C’était tellement dur. Il me regarda, suppliant, aimant. Nous savions, que personnes ne comprendraient. Mais au moins, nous n’aurions plus à se cacher. Il m’embrassa, une fois, deux fois. Des bruits de pas. Forcés de se séparer. C’était le même dessein à chaque fois, j’en avais marre. Je voulais que tout cela s’arrête. Mais c’était inconcevable, parce que je le perdrais. Et je savais que encore une fois, j’allais continué à me cacher.


    ¤ ¤ ¤


    Je revenais des cachots. De mon … rendez-vous. Et mes amies me demandaient la même chose à chaque fois. Mais où étais-tu ? A la bibliothèque. Au parc. En train de finir un devoir. Mais jamais je ne pourrais répondre avec Logan, j’avais tellement envie de le dire. Rien qu’à Aby. Mais j’avais si peur. Et le pire c’était que les autres se rendez compte que je devenais triste, mystérieuse par moment. Et ils s’inquiétaient. Ma relation avec Logan me faisais du mal, mais pire encore, elle touchait les gens autour de moi. Je ne pouvais pas supporter cela. Mais que faire ?
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MessageSujet: Re: June L. Harringston   June L. Harringston Icon_minitimeMer 6 Juil - 1:35

    Exemple de RP
    Parce qu'il faut une plume et de l'encre pour écrire une vie.



    Début Novembre. 5eme année. 15 ans.

    J’avais entendu dire que l’endroit préféré des gens curieux, légèrement rêveurs, était la bibliothèque. J’adore y aller et j’y suis très souvent : toutes ces rangées de livres, aussi longues que grandes, tout ces secrets. On pouvait découvrir chaque jour des centaines de nouvelles choses, de sujets dont on n’oserait à peine parler en public. Créer sa bulle, son monde. Je n’ai jamais eu besoin de passer des heures entières et perdues dans cet endroit pour laisser libre court à mon imagination. Cependant mon endroit préféré à moi, c’est la salle des trophées. Rien que son nom m’attire. L’une des salles les plus précieuses de Poudlard. Elle renfermait tant d’histoire : celle du château, mais aussi celles de ceux qui avaient gagné les trophées. Et dans de secrets. Derrière chaque victoire se cachait une bataille, et derrière chaque bataille il y avait des objets, des gens. Derrière chaque personne ou objet se cachait une histoire. Et dans celle-ci, tout le monde sait bien, que les secrets sont présents.


    ¤ ¤ ¤


    C’était une après midi, début Novembre. La neige recouvrait le parc de Poudlard entièrement. Elle était en avance cette année. Depuis peu, le temps se dégradait, les saisons se mélangeaient. Nous n’étions plus à l’époque de nos parents, ou arrière-grands-parents, où l’été c’était l’été, l’hiver c’était l’hiver et les entre-saisons étaient les entre-saisons : un automne, un printemps. Je m’ennuyais fermement dans ma salle commune. Abigaël était partie pour préaulard, j’avais refusé de la suivre à cause du temps. J’allais ranger mon livre dans ma valise. Depuis le début d’année, un première année, tout nouveau, s’amuser à voler dans la salle commune des Gryffondor. Nous n’allions pas tarder à découvrir de qui il s’agissait, il allait passer un mauvais quart d’heure. Par le slip de Merlin, à présent, les enfants de onze ans volait leurs camarades ! A Poudlard ! Je soupirai.

    J’empruntais le couloir de gauche pour me rendre à la salle des trophées. Peu d’élèves passaient par ici. L’endroit n’était fréquenté que par les élèves perturbateurs qui allaient une heure de colle ou les élèves parfois trop ailleurs, trop dans leur monde : un peu comme moi par moment. Le chemin jusqu’à cette salle était plutôt sombre, et le silence qui régnait ce jour là pouvait paraître effrayant. Je sentais les tableaux de Poudlard me suivre des yeux, se demandant quelle sorte de jeune fille je pouvais bien être, un peu déconcertés. Normalement, un week-end, personne ne devrai être présent. J’arrivais à l’intersection, je sentis comme une impression bizarre, comme si tout à coup je n’étais plus seule mais que cette personne ne souhaitait pas se montrer. Voila que je devenais parano. Mon pas s’accéléra un peu. Un bruit d’amure tomba terre. Un esprit frappeur ? Au dernière nouvelle, il n’y en avait plus à Poudlard. Un fantôme ?

    … « BOUH !!! » Je dis un bon de trois mètres en arrière. « Ah, t’as trop flippé June ! T’aurais du voir la tête que t’as tiré ! » Mon amie était morte de rire. Elle adorait me faire peur, c’était facile aussi, j’étais toujours plongée dans je ne sais quelle pensées.
    June. « Oui tu m’as eu sur ce coup la ! Mais ne le refait plus jamais ici, s’il te plaît. » Dis-je en souriant content de voir mon amie de Poufsouffle. Bien qu’un peu dérangée de ne pas pouvoir poursuivre mes pensées et me rendre dans la salle des trophées tout de suite.
    L’amie. « Je sors d’une heure de colle. Je rejoins les autres dans la grande salle, tu veux venir ? »
    Emma. « Non, merci, mais je vais continuer sur mon chemin, il faut que je regarde quelque chose. »

    Mon amie partit en riant et en lâchant un petit « toujours la même, June ». Le silence régna de nouveau dans le couloir. Et étrangement, cette impression d’être observée ne m’avait pas lâché. Je décidais d’en faire abstraction et de continuer sur ma lancer. La salle n’était à présent plus très loin. Sur le chemin je reconnu un passage secret que m’avait enseigné Aby ; ma meilleure avait passé des heures à chercher des chemins cachés de Poudlard. J’arrivais de la grande porte poussiéreuse. J’appuyais une petite main dessus pour l’ouvrir, puis l’essuya légèrement sur mon jean pour enlever la poussière ; oui, je ne portais jamais l’uniforme le week-end. Je passai dans les rangées, pas encore nettoyer. Puis finalement, je rejoins ma place préféré, à côté d’un grand livre où était répertorié chaque trophée, chaque biographie des personnes l’ayant gagné. Lorsqu’une personne m’attirait, j’allais voir son trophée, et imaginait quelle avait pu être son sentiment à la victoire, sa bataille. Je pouvais y passer des heures entières. Mes yeux furent attirés par un trophée en forme de chat. Il me rappelait étrangement mon propre animal de compagnie. Ses yeux me fixait intensément.


    Flash Back.


    Je poussai la porte de la boutique trop lourde pour mes onze ans. Elle me rappelait étrangement une odeur de vieux que je trouvais dans mon grenier ; tout de suite, je me suis sentie familière à cette pièce. Les animaux y volaient dans tout les sens, mais ne descendaient jamais assez abs pour nous toucher, comme s’ils avaient été enchantés. Mes doigts glissaient sur une étagère. Moi qui étais toujours trop active je me retrouvais tout à coup apaisé, comme si j’avais été aspiré dans un monde fantastique. Un chat en particulier me fixait sans cesse, il avait des yeux émeraude transparent ; j’eu envie de l’appeler mais je ne savais pas comment il s’appelait. Mon cœur se pinça d’une petite tristesse et comme s’il avait senti ce qui était en train de dérouler, le chat déboula tout seul vers moi en un miaulement. Le monsieur de la boutique rit à cette scène. C’était un coup du destin, comme souvent dans cette boutique.

    Fin flash back.



    J’entendis un miaulement familier, et un petit chat vînt se poser sur mes genoux. Un petit rire sortit de ma bouche.






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MessageSujet: Re: June L. Harringston   June L. Harringston Icon_minitimeJeu 7 Juil - 12:32

    Bienvenue sur EP Very Happy

    Toute l'équipe du Staff te souhaite la bienvenue et espère que tu passeras de bons moments sur le forum.
    Ta fiche est aceptée, et un administrateur va désormais completer ton profil et déplacer ta fiche dans la partie PRESENTATION VALIDEE.
    Ton personnage rejoindra la maison de GRYFFONDOR.

    Tu peux désormais aller creer ta FICHE DE RP's, ainsi que ta FICHE DE RELATIONS. N'oublie pas de jeter un coup d'oeil à l'intrigue du forum. Tu peux à présent commencer à jouer ! Razz
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MessageSujet: Re: June L. Harringston   June L. Harringston Icon_minitime

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